samedi 3 novembre 2012

Témoins experts ont été d'un expert avant ils ont été témoins


Comment devient-on un «témoin expert»? Les témoins experts possèdent des connaissances et des compétences spécifiques, et ont terminé des études et des cours de formation qui dépasse l'expérience de la personne moyenne. Témoigner sur des faits particuliers et offrant conclusions en tant que témoin n'est pas admissible à l'un comme témoin expert. Le témoin expert est un expert avant qu'il ou elle devient un témoin.

N'importe qui peut être assigné à témoigner dans une déposition ou d'un procès concernant l'observance de ses événements. Par exemple, quiconque observe un accident de la circulation au coin des rues Main et Elm peut témoigner sur ce qu'il ou elle réellement perçu. Le témoin peut témoigner au sujet de la nature et des modèles de voitures impliquées, leurs positions relatives, et la vitesse à laquelle les véhicules circulaient. Cependant, l'observateur moyen ne peut témoigner quant à savoir si l'accident a été causé par une voiture taux élevé de la vitesse, ou que les freins d'un modèle de voiture impliquée ne sont pas fiables et ont causé le naufrage. Ces décisions nécessitent une expertise en enquêtes sur les accidents et la technologie des freins et des performances.

D'autre part, un témoin expert peut témoigner à des conclusions formulées ou inférences fondées sur des faits et des preuves recueillies sur les lieux - en dépit de ce que l'expert n'a pas fait assister à l'accident. Pensez à la façon dont un expert en accidents de la route pourrait examiner photographies ou des échantillons de résidus de traces de dérapage pour témoigner de la dimension du pneu et de la marque, ou la vitesse de la voiture. Ou, pensez à la façon dont un expert en voiture freine pouvait témoigner que les marques de dérapage inégales ou des bruits entendus par d'autres témoins étaient des signes que la voiture avait des freins défectueux.

Le juge du procès doit agir pour se qualifier à titre de témoins experts présentés par un avocat. Le juge doit interroger le témoin, ou permettre à l'avocat adverse d'interroger le témoin, en ce qui concerne sa possession de la connaissance requise, expérience professionnelle, les compétences professionnelles et l'éducation ou de la formation pour servir l'expert pour les questions à l'étude. Quel que soit le parti sert de juge des faits, qu'il s'agisse d'un jury, le juge ou un tribunal d'arbitrage, permettra de déterminer quel crédit, le cas échéant, est donnée à la témoignages et autres preuves présentées par l'expert.

Un témoin expert expérimenté prendra les mesures nécessaires pour établir sa crédibilité et de résister aux efforts de l'avocat adverse de nier que la crédibilité. L'expert de bien se familiariser avec le dossier et les faits pertinents avant de soumettre un témoignage, rapport, ou l'affidavit. Il va étudier la littérature indépendant sur les questions de cas et des recherches sur les rapports professionnels ou académiques.

Le témoignage d'expert est clair et sans partialité. Il va impressionner la salle d'audience comme un homme honnête, objectif évaluateur des questions. Témoignage offert sera sans exagération et l'hyperbole, et se limitera au domaine d'expertise de l'entreprise. Les réponses doivent être brèves et précises, le témoin ne devrait pas fournir volontairement des informations supplémentaires. Enfin, l'expert doit rester calme et ne devrait jamais essayer d'engager un débat avec l'avocat adverse - même si ce débat est gagné, sa crédibilité peut être endommagé dans les yeux du jury....

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